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Vers le phare

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Vers le phare

Détails sur le produit

Poche: 361 pages

Editeur : Gallimard (13 juin 1996)

Collection : Folio Classique

Langue : Anglais, Français

ISBN-10: 2070389472

ISBN-13: 978-2070389476

Dimensions du produit:

17,9 x 11 x 1,6 cm

Moyenne des commentaires client :

4.2 étoiles sur 5

6 commentaires client

Classement des meilleures ventes d'Amazon:

13.182 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)

Une merveille de finesse et d'analyse des sentiments et des comportements humains. Le roman est précédé d'une (trop) longue étude qui semble parfois exagérément introspective. A lire peut être après le roman plutôt qu'en préambule ... Ceci dit , latraduction est de qualité.

Virginia Woolf, pseudonyme d’Adeline Virginia Alexandra Stephen (1882-1941), est une femme de lettres anglaise, l'une des principales auteures modernistes du XXe siècle. Bisexuelle et féministe, elle fut une figure marquante de la société littéraire londonienne et un membre central du Bloomsbury Group, qui réunissait des écrivains, artistes et philosophes anglais, groupe au sein duquel elle rencontrera Vita Sackville-West avec qui elle aura une liaison durant toutes les années 1920. Woolf souffrait d'importants troubles mentaux et présentait tous les signes de ce qu'on nomme aujourd'hui, troubles bipolaires. En 1941, à l'âge de 59 ans, elle se suicida par noyade dans l'Ouse, dans le village de Rodmell (Sussex), où elle vivait avec son mari Leonard Woolf, écrivain lui aussi. Elle avait commencé l'écriture comme activité professionnelle en 1905 pour le supplément littéraire du Times et un premier roman en 1915. Vers le Phare (qui connait d’autres titres proches selon les traductions) date de 1927.Les Ramsay et leur famille nombreuse de huit enfants, ont l’habitude de passer les vacances sur une ile Ecossaise avec des amis. Au large sur un caillou, le Phare où l’on se promet d’aller demain selon la mère, projet sans cesse repoussé par le père avançant des contraintes météorologiques. Dix années s’écoulent, la mort a frappé la famille, la mère et deux enfants ne sont plus là, le reste de la tribu retourne sur l’ile et finit par aller au Phare, symbole de l’accomplissement et toujours écrit avec une lettre majuscule tout du long du texte.Le roman est particulièrement complexe à lire, ce qui le réservera à un public averti ne le cachons pas. Il s’agit de ce genre de livre où il n’y a pas d’histoire mais une plongée en eaux profondes dans les sentiments et les pensées intimes des personnages, où la notion de temps est une succession d’instants éphémères. Tout comme le ferait Marcel Proust mais à cette différence – pour moi – que l’écriture du premier est fluide, coule avec facilité, tandis que chez la seconde le style est plus heurté, parfois dissonant si nous parlions musique, douloureux pour le lecteur pour tout dire et il faut s’accrocher pour suivre. Le livre est fait de trois parties, ou plutôt de deux séparées par un court tunnel de liaison – le temps d’une Première guerre mondiale - entre les deux époques, comme une pause pour le lecteur éprouvé. La dernière partie du roman m’a été plus agréable à lire, le temps de m’habituer à l’écriture de Virginia Woolf peut-être mais aussi au fait qu’il y a plus de descriptions.Etude de caractères, la mère toujours bienveillante et débordante d’empathie pour les êtres qui l’entourent même si avec son mari ce n’est pas toujours facile ; mari jamais très à son aise en particulier avec ses proches, « La vérité, c’est qu’il n’appréciait pas la vie de famille. » Ce qui en conséquence attise un esprit de révolte des enfants envers leur géniteur. Et puis il y a Lily Briscoe, l’une des filles, artiste peintre, qui observe et n’en pense pas moins.Le roman s’achève sur une double finitude, le tableau de Lily Briscoe est terminé, le père et ses enfants atteignent le Phare. Le temps a accompli son Å“uvre.Un très beau livre mais je le répète, duraille à lire pour les lecteurs occasionnels.« Il n’y avait pas la moindre chance qu’ils aillent au Phare demain, rétorqua Mr. Ramsay avec humeur. Qu’en savait-il ? demanda-t-elle. Le vent tournait souvent. L’incroyable irrationalité de sa réflexion, la folie de la logique féminine le mettaient en rage. Il avait chevauché dans la vallée de la mort, avait été mis en pièces et secoué de frissons ; et voilà qu’elle se permettait de nier l’évidence, poussait ses propres enfants à espérer quelque chose qui était absolument hors de question, pratiquement, racontait des mensonges. Il tapa du pied sur le seuil de pierre. « Le diable t’emporte », dit-il. Mais qu’avait-elle dit ? Seulement qu’il ferait peut-être beau demain. C’était possible. »

« Vers le Phare » présente au lecteur, transcendé par l’écriture, tout un monde de lumière et de rêverie; le roman anime son intériorité faisant advenir des sensations toutes personnelles ; il met en branle sa pensée d’un ailleurs réel ou fantasmé ; il ouvre à sa mémoire cet univers de nature, d’amitiés, d’enfance, d’odeurs et de sonorités oubliées. Mais l'intérêt de ce livre ne réside pas uniquement de ce qu’il y reconnait de lui-même, mais aussi de ce qu’il apprend de l'autre. C’est une société révolue, incompréhensible, empreinte d’idéologie victorienne, soumise au diktat du paraitre qui lui est également donné de découvrir. L’écriture chatoyante et légère de Virginia Woolf génère incontestablement une émotion esthétique unique. Il y a un charme et une finesse des portraits doublés d’une solide composition du récit. Rien n’est péremptoire ici et lire ce texte c’est se laisser emporter au fil des mots, des échos et des images vers un sens en perpétuel devenir. Il existe indéniablement avec cet ouvrage un plaisir sensuel qui n’est pas réductible à la seule histoire racontée. Le roman lu, compris, ne meurt pas à la dernière page. A nouveau parcouru, il renait à lui-même et redevient ce qu’il a été.La mer semble se faire entendre tout au long. « Vers le Phare », sans histoire véritable, se présente sous la forme d’un triptyque. Il n’est pas une évocation de l’enfance à forte dimension autobiographique. Il n’est pas seulement le portrait de la mère et du père de l’auteure. Les pensées, les émotions, les désirs et les frustrations des personnages constituent la matière véritable et colorée de ces pages. Le premier volet baigne dans la chaude lumière d’un soir de septembre. Les Ramsay, leurs huit enfants et quelques amis à la veille de la grande guerre séjournent sur une ile au large de l’Ecosse. Des touches légères, fugitives paraissent composer le tableau : Mrs Ramsay est installée à sa fenêtre, une promesse de promenade au phare est faite au jeune fils, Mr Ramsay passe et repasse, un convive survient, un couple se forme et un autre pas, le diner rassemble la maisonnée. Le court panneau central a, au contraire, la couleur très sombre d’une nuit de tempête et de cauchemars. Le délabrement de la maison désertée dix années durant semble y figurer le processus de destruction du monde et de bouleversement de la famille. Il est l’évocation impersonnelle de la fuite du temps. Le dernier volet enfin est éclairé par la lumière crue d’un matin tout neuf. La paix est revenue, la maison est remise en état, les plaies lentement se referment et sous le soleil l’expédition au phare peut être entreprise.Dans le roman, le personnage Lily Briscoe, portraitiste, permet au texte d’acquérir une intéressante dimension réflexive. Son tableau constitue en effet la discrète métaphore de l’œuvre littéraire. La forme du roman de Virginia Woolf emprunte incontestablement au domaine pictural moderne les principes de son élaboration et de sa composition. L’artiste, pas plus que l’écrivain, ne cherche à peindre des portraits ressemblants, elle ne conçoit pas son art comme réaliste (l’excellente présentation de Françoise Pellan permet de mesurer les décalages de la fiction d’avec la réalité autobiographique de l’auteure). Elles rejettent toutes les deux le principe d’imitation comme principe esthétique fondamental et elles donnent la primauté aux valeurs formelles de l’œuvre. Virginia Woolf ainsi, par un long travail d’écriture, tente d’équilibrer les masses, l’ombre et la lumière, de mettre esthétiquement en correspondance les différents éléments du texte. Les portraits subtils, nuancés, contrastés de Mrs et Mr Ramsay s’établissent par découpes et constructions successives (cubistes ?). Les fractures du texte ne correspondent d’ailleurs pas forcément avec les ruptures spatiales ou temporaires ; certaines scènes s’étirent sur plusieurs sections qui ne se suivent pas toujours ; les points de vue narratifs ainsi varient. Cependant, l’exposé reste toujours fluide et élastique. Une scène discrètement fond dans une autre non située ; un niveau temporel glisse ailleurs sans heurt. Au fil de discours intérieurs, complétés par quelques rares gestes et paroles des uns ou des autres, les personnages se composent. L’auteure cherche à introduire la Littérature dans son travail, son roman si fragmenté, pense-t-elle, prendrait sans cela le risque de voir l’image d’ensemble indéchiffrée (en 1911, sur son tableau « Le Portugais », Braque n’inscrit-il pas au pochoir des mots et des lettres ?). Ainsi, les citations et les références littéraires permettent à Virginia Woolf d’objectiver les deux personnages que sont Mr et Mrs Ramsay, elles permettent aussi de mettre en évidence la dissymétrie de leurs relations (les vers d’Alfred Tennyson déclamés par Mr Ramsay sont l’allégorie, et de ses problèmes épistémologiques, et de la responsabilité supposée de son épouse ; le conte de Grimm lu par Mrs Ramsay quant à lui est le miroir de sa culpabilité). La première ébauche de Lily Briscoe reflète la dysharmonie de l’œuvre en cours et c’est seuls les changements de perspective et l’équilibre des masses qui permettent de représenter le couple. Il en est de même pour Virginia Woolf qui de cette façon parvient à recomposer le tableau du passé et à poser la touche définitive : « j’ai eu ma vision ».

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